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Particules additives et finitude en néerlandais et allemand L2: Étude expérimentale

MPS-Authors
/persons/resource/persons160

Schimke,  Sarah
Language Acquisition Group, MPI for Psycholinguistics, Max Planck Society;
Information Structure in Language Acquisition, MPI for Psycholinguistics, Max Planck Society;

/persons/resource/persons200

Verhagen,  Josje
Language Acquisition Group, MPI for Psycholinguistics, Max Planck Society;
Information Structure in Language Acquisition, MPI for Psycholinguistics, Max Planck Society;

/persons/resource/persons41

Dimroth,  Christine
Language Acquisition Group, MPI for Psycholinguistics, Max Planck Society;
Information Structure in Language Acquisition, MPI for Psycholinguistics, Max Planck Society;

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Schimke_Aile_2008.pdf
(Publisher version), 211KB

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Citation

Schimke, S., Verhagen, J., & Dimroth, C. (2008). Particules additives et finitude en néerlandais et allemand L2: Étude expérimentale. Acquisition et Interaction en Language Etrangère, 26, 191-210.


Cite as: https://hdl.handle.net/11858/00-001M-0000-0013-2088-A
Abstract
Cette étude traite de la question de savoir s’il y a une relation entre les équivalents des particules additives ‘aussi’ et ‘de nouveau’ portant sur le topique et la finitude dans la variété des apprenants turcophones du néerlandais et de l’allemand. Dans les données obtenues avec une tâche contrôlée, nous observons que la finitude est moins fréquemment marquée dans les énoncés contenant ces particules que les énoncés comparables qui ne contiennent pas ces particules. Ceci est vrai pour le marquage de la finitude sur les verbes lexicaux ainsi que pour la présence de verbes conjugués sans contenu lexical comme la copule. De plus, nous montrons que les particules peuvent précéder le verbe conjugué dans la langue des apprenants. Ces résultats peuvent être expliqués par la similarité fonctionnelle entre la finitude et les particules portant sur le topique.